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Alain

 


 

Les messages laissés par nos visiteurs :



Le 19 Mai 2021

Les 12 apôtres...de la randonnée !

Effectivement, ils n'étaient que 12 ce dimanche 16 mai à reprendre le chemin non pas de l'école - l'âge des gamineries étant largement dépassé -, mais celui des forêts et des rivières...
Cap sur le Camp de Balata - bel bwa - pour emprunter la trace descendant jusqu'à Fontaine Didier, haut lieu de production de l'eau à bulles.
Temps sec donc sentier correct bien que présentant quelques passages délicats - certains mauvais temps ayant laissé leurs traces -, mais au bout d'une heure, le groupe parvient à boucler le premier tronçon.
Après une petite halte au niveau de la captation sur la rivière Dumauzé, le groupe se remet en marche pour remonter en direction de l'ex-station thermale d'Absalon, qui croupit depuis nanni-nannan en attendant sa cure de jouvence...
Le sentier longe et surplombe la rivière et sa succession de mini-chutes, de bassins à l'eau limpide. Malgré la sécheresse qui semble s'installer, la forêt tropicale coule en nous remplissant d'espoir...
Nous voici enfin arrivés au parking d'Absalon digne d'une copie de celui d'un hypermarché - toutes proportions gardées. Il est vrai que ce dimanche ensoleillé a eu le don d'extirper les gens de leur confinement habituel.
La majorité d'entre nous regagneront la route de la Trace toujours à pied, tandis que 3 chauffeurs monteront sur leurs grands chevaux (vapeur) pour récupérer ce beau monde en haut de la côte et les transporter au Camp de Balata. Cheminer en bordure de nationale sinueuse un dimanche matin s'apparente effectivement à un exercice périlleux. Les Apôtres de la randonnée éviteront donc de tenter le diable.
Reste ce petit moment de détente autour d'une collation sur lequel nous ne nous appesantirons pas.
Mieux vaut évoquer l'histoire de ce fameux camp et de la mutinerie du commandant Tourtet en juin 1943, époque pendant laquelle nous ne pensions nullement devenir un jour de fidèles randonneurs et randonneuses au sein du RCVD !

Grifantè
 
Le 30 Mars 2021

Chemin de...Quoi ? Interdit ?
Eh oui, interdit de gravir l'ilet de Sainte-Marie pour parvenir à la croix qui surplombe l'océan agité par de gigantesques vagues écumantes...Fermé pour cause de travaux (réfection des marches de l'escalier qui mène au sommet culminant à 39m).
Ceci n'a pourtant pas empêché le groupe de 23 randonneurs et randonneuses du club ( répartis en groupes de 6) de rejoindre l'ilet, d'autant plus que la période est favorable pour s'y rendre à pied presque sec.
Le tombolo, curiosité de la commune, nous ouvre ses vagues déferlantes comme par magie (je ne parle pas d'Elisabeth qui conduisait un groupe de 5 personnes). Lieu chargé d'histoire industrielle - le temps de l'exploitation sucrière y a laissé des traces rouillées mais bien présentes,-, d'histoire humaine avec ce drame de la noyade qui restera dans les mémoires, lieu chargé d'empreintes géologiques sculptées par les alizés et les embruns, lieu de reproduction des sternes de Dougall qui justifie l'interdiction de l'accès à une partie de l'ilet pendant l'hivernage. Lieu d'énigmes qui sollicitent la perspicacité des visiteurs - savez-vous ce que l'on jette quand on en a besoin et que l'on reprend quand on n'en a plus besoin ? -, lieu d'une grande beauté qui incite à immortaliser sa splendeur.
Les yeux encore pleins de merveilles, il était tout naturel de se rendre après une balade dans les ruelles du bourg - étonnant passage de l'Espace du photographe -, au musée du rhum via la place Clarissa Jean-Philippe. L'eau de mer s'est évaporée aussi sec devant les saveurs de la canne fermentée. Mais pas d'excès, juste de quoi ramener un petit souvenir liquide à la maison.
La suite de la journée nous conduisit par les campagnes du quartier Plaisance à Fonds Saint-Jacques - halte à la forêt La Philippe au cadre enchanteur - jusqu'à l'ultime étape : le restaurant "Le Point de vue" pour un repas "tété dwèt". Côté ambiance, c'était pas mal non plus, le club a mis son grain de sucre...J'allais dire son pain de sucre pour faire couleur locale...
A 17h, nous arrivions sains et saufs à notre port d'attache, Saint-Joseph !

Grifantè
 
Le 23 Mars 2021

Foyal : Opération coeur ouvert...

Fort-de-France, une ville que chacun.e d'entre nous fréquente sinon quotidiennement, disons régulièrement depuis longtemps. Une ville que nous croyons connaitre...et pourtant.
D'autant plus qu'au lieu d'accumuler les rides au fil des décennies, Foyal est plutôt sujette aux liftings à tel point qu'on en oublie son vrai visage.
C'est ce constat qui a poussé le RCVD à proposer "une visite commentée" de Foyal en suivant un itinéraire reliant les principales curiosités du patrimoine urbain.
Respect du protocole sanitaire applicable aux clubs de randonnées, l'organisation avait prévu 4 groupes de 5 personnes, chacun conduit par un animateur. Et pour ne pas se marcher sur les pieds, 2 groupes respectant une bonne distanciation se suivirent du départ vers l'arrivée, tandis que 2 autres empruntaient le chemin inverse. On allait donc sans doute se croiser quelque part...
La boucle partant du parking de la Française, longue de 5 kilomètres, permit aux participant.e.s de (re)découvrir des sites, des monuments, des noms, tous chargés d'histoire. De souvenirs également puisqu'il avait été demandé d'évoquer des moments de son enfance, de sa jeunesse, à une époque où, "descendre en ville" représentait encore un évènement personnel...
Les participant.e.s ont également été associé.e.s à l'organisation en lisant au groupe les informations écrites sur la "feuille de route". Bord de mer, canal Levassor, Parc A. Césaire, Terres Sainville, La Levée, le centre-ville, la Savane livrèrent leurs secrets à la suite de trente haltes savamment choisies.
Connait-on bien le coeur de Foyal qui bat au rythme du tambour bèlè ? Bien, non, mais mieux !
La preuve, qui se souvient encore de la petite librairie "Le Boul'Mich", une librairie dans la plus pure tradition des bouquinistes et qui se trouvait...C'est vrai ça, c'était où déjà ?
Contentons-nous donc de mieux situer les Glacières - une époque où les congélateurs n'envahissaient pas les foyers - qui permettaient aux Foyalais.e.s de se rafraichir...la mémoire !
A bientôt sous d'autres cieux...
Grifantè

Grifantè
 
Le 4 Mars 2021

Le RCVD fait le gué...
Une nouvelle fois, le dimanche 28 février, le RCVD a mis les pieds dans l'eau - ce qui est mieux que de les mettre dans le plat - à l'invitation de la DSCVA (Direction des Sports et de la Vie Associative) de la ville de Saint-Joseph. Plus qu'invité, partenaire, puisque l'équipe d'encadrement (Romain, Félix, Cressan, Alain et moi-même) a été mobilisée pour assurer la bonne marche des opérations.
Accueillir et accompagner plus d'une centaine de personnes sur 8 kilomètres n'est pas une mince affaire surtout lorsqu'une partie du parcours emprunte une route départementale...Un itinéraire qui partait du stade Murano vers Lourdes puis La Durand en descendant en direction de la station Odyssi de traitement des eaux de la rivière Blanche, avec un premier passage de gué - ou de force - puis l'enchainement des gués successifs jusqu'au Chemin de Fond Perez. Attention ça monte jusqu'à la route pour redescendre ensuite en traversant le Domaine de Rivière Blanche où l'on rejoint la Route des Gués.
Ouf... euh non pas ouf puisqu'il faut maintenant regagner la station d'Odyssi et...Fout monn la red ! Courage...le cortège s'était déjà bien effiloché, cette fois c'est du goutte-à-goutte !
Beaucoup de marcheurs et marcheuses ont découvert un itinéraire pas banal et pourront ainsi y revenir en surveillant la météo, car si la Rivière Blanche nous a reçu sans hausser le ton, il arrive qu'elle gronde et que le niveau monte...
Belle balade avec le concours des secouristes de la Protection Civile et la Police Municipale. Il s'agissait de la seconde randonnée du Défi des Associations - qui en compte trois -, opération à laquelle 18 membres du RCVD ont participé.
Certains restent zens, nous restons "gués".
An lot soley !

grifantè
 
Le 22 Février 2021

Mazèt !

Les vrai.e.s randonneuses et randonneurs savent d'expérience que préparer une rando c'est d'abord consulter les prévisions météo...Possible, pas possible, la réponse se trouve dans le bulletin météo.
Depuis une semaine, les membres du RCVD avaient pris connaissance de la fiche de la prochaine rando prévue le dimanche 21 février : la trace des Jésuites, enfin un tronçon, descente à la rivière du Lorrain depuis le parking sur la RN3 et remontée dans la foulée...sans se fouler !
15 inscrits, la veille l'affaire est dans le sac (de rando bien sûr) et puis crac : le bulletin météo du soir annonce "Vigilance jaune pour fortes pluies". Et lorsqu'on connait le secteur du Morne-Rouge et la forêt tropicale humide même en période de carême, la prudence commande d'enclencher la marche arrière : annuler pour éviter de mettre le groupe en danger vu le risque important de chute. Connaissant le groupe, je savais que certains participants se seraient retrouvés en grande difficulté...
La sentence tombe vers 20h ce samedi : chacun est prévenu que la rando est reportée à une date ultérieure.
Dimanche matin à 6h, il était évident que la pluie n'avait pas fait des ravages sur le secteur de Fort-de-Fce. Un SMS tombe sur mon portable "Finalement on aurait pu y aller" écrit Emmanuel, encadrant du groupe. La réponse ne se fait pas attendre : "Si t'es prêt on y va !".
A 8h départ de Fort-de-Fce en direction du Morne-Rouge. Du côté de Balata, le ciel s'assombrit : pluie, brume de sable. Pas très engageant tout ça...
On arrive enfin au parking de l'entrée du circuit de la Trace des Jésuites : De la pluie, que nenni, mais c'est quand même bien détrempé. On patauge, on s'enfonce très vite dans une boue liquide qui se colle aux chaussures d'Emmanuel et aux pieds de Grifantè. La descente s'effectue prudemment pour éviter les glissades et 3/4 d'h plus tard nous franchissons le pont de singe. Le débit et le courant de la rivière restent imposants sans pourtant atteindre le niveau d'une crue. Et c'est là qu'il se met à pleuvoir ! Mais la magie du RCVD refait surface, et la remontée ne sera arrosée que par les gouttes qui glissent le long des feuilles des arbres. Il ne nous aura pas fallu plus de 45 minutes pour le retour ! D'un point de vue, on a pu apercevoir le quartier Fond Marie-Reine sous quelques...rayons de soleil !
Un retour avec un goût amer, celui d'avoir raté une occasion d'être plus nombreux...Un retour avec un goût sucré de liqueur après le passage chez des amis de longue date à Petit Préville !
Moralité : faut-il écouter les prévisions météo avant la rando ? Les fortes pluies annoncées sont restées sagement dans leurs nuages, alors nous aurait-on induit en erreur ? Tout animateur compétent sait que la météo est extrêmement changeante sous nos latitudes, qu'une prévision reste une pré-vision et qu'il vaut mieux faire preuve de prudence pour la sécurité de ses randonneurs et randonneuses.
On se donne rendez-vous dimanche prochain à Saint-Joseph à la découverte des quartiers sous le soleil !
Grifantè

grifantè
 
Le 22 Février 2021

Des jeunes les pieds dans l'eau et la tête dans les nuages...

Des nuages de pluie ont effectivement envahi le ciel ce jeudi 18 février alors que le RCVD avait donné rendez-vous à une vingtaine de jeunes (de 7 à 17 ans) et leurs 6 animateurs et animatrices CEMEA de la résidence Bwa Santal, du côté de la Route des Gués à Saint-Joseph. Autant dire que l'affaire se présentait mal lorsque, avec Elisabeth et Aurélia, la plus jeune du Club, nous quittions Fort-de-France pour le quartier Chapelle. Allions-nous devoir annuler cette rencontre ? Après quelques épisodes plus vieux (sic), le ciel a décidé de se montrer clément, et c'est sous un chaleureux soleil que nous avons du attendre le groupe qui, problème de transport oblige, est arrivé vers 10h30 au lieu des 9h30 prévues.
Regroupement, présentation de la randonnée et...pluie qui se remet à faire des siennes !
Accalmie, merci et nous voilà parti.e.s !
Belle balade écourtée qui nous conduira cependant jusqu'à la station de traitement des eaux de la Rivière Blanche, avec de nombreux arrêts pour observer, expliquer ce qui nous entoure. Aucun problème pour le passage des gués, les consignes pour éviter les glissades ayant été données dès le départ. Difficile d'éviter que certains, par jeu, en éclaboussent d'autres mais l'ambiance n'a jamais révélé de tensions. Si tous n'était pas d'accord sur le nombre de gués traversés, le retour a permis de mettre tout le monde d'accord : 10 gués traversés plus un 11ème situé après la station de traitement.
Après une heure trente de marche, nous étions revenus au point de départ. Surprise sur le parking pour Aurélia qui fait une rencontre inattendue et pourtant de circonstance : son professeur M. Du Gué, euh pardon M. Duguet.
Les jeunes allaient poursuivre leur journée à Coeur Bouliki et donc retrouver la Rivière Blanche et découvrir le point de captage de l'eau traitée à la station de la Durand.
Une matinée sans une goutte d'eau tombé du ciel ! La magie du RCVD a encore opéré !!!
Grifantè

grifantè
 
Le 15 Février 2021

merci tonton felix et genevieve pour ce super repas du dimanche 7 fevrier

flavie
 
Le 12 Février 2021

Bizarre, vous avez dit bizarre ? Eh oui, j'ai dit bizarre ! Comment comprendre qu'un randonneur retraité - par exemple...non, je ne citerai pas le président qui veut rester dans l'anonymat - ou une randonneuse retraitée - idem, pas de nom - du RCVD déclare tout de go : - Dimanche, je vais à mon travail ! Travailler quand on est retraité.e et qui plus est, un dimanche, on marche sur la tête ! Et pourtant, j'avoue que je n'avais pas bien compris de quoi il s'agissait : je vais à Montravail, la forêt, à Sainte-Luce ! Tout s'éclaire...de l'une ou l'autre manière. Même le ciel s'est éclairci, puisque partis de Saint-Joseph en car - la première fois depuis un an que nous délaissions le covoiturage pour le transport en commun -, partis donc sous un temps plus vieux que la veille, nous avons réussi à effectuer une magnifique balade en empruntant le grand - enfin petit itinéraire du haut de ses 4km - sous ...le soleil ! Bien sûr, les 30 participants ont du se plier, non pas en quatre, mais aux règles strictes du protocole sanitaire mis en place par la Fédération de Randonnée depuis le 16 janvier (port du masque pendant le transport et les regroupements, utilisation de gel hydroalcoolique et de son matériel personnel, distanciation - pas toujours possible sur le sentier -, constitution de petits groupes de 6 pour la progression, bref autant de gestes contraignants mais nécessaires pour se protéger les uns les autres. Saluons Georges, notre chauffeur, qui n'a pas hésité à braver la boue pour nous suivre sur cet itinéraire de randonnée et nous ramener à bon port sans encombre !

grifantè
 
Le 30 Janvier 2021

Un rendez-vous manqué ?
Pas vraiment...
Comme nous le relate le posteur inconnu appelé Alain, le RCVD avait organisé une balade à la Caravelle le dimanche 24. Reprends ta calculette Alain : nous étions 19 et non 15, mais peu importe la quantité, seule la qualité compte.
Et justement, un projet est en train de naitre pour cette nouvelle saison à moitié entamée. Sollicité pour l'encadrement de randonnées par des associations de résidents de "cités" (Rivière Roches à Fort-de-France puis Bwa Santal au Lamentin), l'animateur, dont nous tairons le nom, a saisi la balle au bond : pourquoi ne pas associer "jeunes" et "séniors" dans une même activité ? Une occasion inespérée de rapprocher les générations, de permettre aux anciens de transmettre et aux jeunes de découvrir, d'apprendre leur environnement.
Rendez-vous était donc pris entre 12 jeunes de Rivière-Roches encadrés par leurs animatrices et animateur des CEMEA et la dizaine de randonneurs et randonneuses du RCVD sur les sentiers de la Caravelle.
Petit hic : arrivé sur place à 8h, le groupe RCVD apprend que le groupe de Rivière-Roches n'a toujours pas quitté Fort-de-France suite au retard du car. Nous décidons donc d'écourter l'attente, un groupe partira sur le grand parcours (phare) sous la conduite de Romain et Alain, un autre sur le petit parcours (mangrove) accompagné par Simone et Félix. Seuls l'auteur de ses lignes et Benji redescendent près du snack à l'entrée de la route empierrée - le flot de voiture garées ne permettant pas au car de s'avancer plus loin - pour attendre nos invités qui arriveront à ...8h50 ! C'est parti pour une belle balade en direction de la mangrove. La plus jeune n'a que 8 ans, la plus âgée 20 ans mais tous et toutes marchent d'un bon pas. Benji et moi réussissons le tour de force de les intéresser à ce qui les entoure - ce n'est pas gagné au départ - mais peu à peu didine, termitière, palétuviers, crabe cé ma faute, gommier rouge et baie du trésor n'ont plus de secrets pour ces jeunes dont l'horizon s'arrête trop souvent aux parkings en bas d'immeubles. En traversant la mangrove, nous croiserons les randonneurs venant du phare. A midi, nous rejoignons le groupe RCVD à la Brèche. Excellente journée, même si le contact n'a pas été vraiment établi entre tous les participants à cette journée.
Rendez-vous réussi quelques jours plus tard avec les jeunes de la résidence Bwa Santal sur le site de la Route des Gués à Saint-Joseph le mercredi 27 dans l'après-midi. Là encore un petit retard du groupe composé de 6 jeunes et 4 encadrants des CEMEA, certains jeunes quittant leur établissement scolaire à midi. Alain, Mary-Anne, Armelle, Benji et moi-même accueillent enfin les jeunes vers 14h30 pour une découverte de la rivière Blanche et ses méandres. Nous arriverons, les pieds mouillés et les yeux émerveillés à la station de traitement des eaux, halte qui permettra de faire un petit exposé sur le traitement, la consommation et la protection de cette ressource vitale pour nous tous. A 17h, le groupe regagnait le quartier Chapelle en remontant par le Chemin Fond Perez. Belle montée ! Cette seconde rencontre a démontré que l'idée de randonnées intergénérationnelle pouvait apporter un sang neuf à notre action qui entre dans sa 11ème saison.
Merci encore aux membres du club qui se sont associés à cette petite expérience qui, espérons-le, ne restera pas sans suite.
Grifantè

grifantè
 
Le 28 Janvier 2021

Reprise sur la pointe des pieds ou plus exactement sur la pointe des chaussures (ce qui a valu à M.Pierre une panne matérielle, rapidement réparée par Romain) 15 adhérents étaient présents ce dimanche 24 janvier à la Caravelle. Deux groupes, deux parcours, chacun a pu choisir !!!!!
La journée s'est poursuivie à Tartane (la Brèche) par un piquenique tiré du sac et une baignade pour certains. COVID oblige : La séance de vaccinations avant le repas s'est bien déroulée et chacun à eu la dose réglementaire……. ????
Immense plaisir de se retrouver après plusieurs mois d'interruption des activités RCVD.
Espérons que vous serez des nôtres pour les prochains RDV. A bientôt
Alain

Posteur anonyme
 
Le 19 Octobre 2020

C’est à une belle organisation dont jai été invité et participé Ce dimanche 18 /10/2020
J’ai découvert plus largement la ville de St Joseph. Belle ville beau paysage. À mon humble avis
Le circuit formidable bien gérer par les jeunes à vélo que je félicite vivement
Le seul problème revient aux participants qui reste récurant

Benji
 
Le 14 Septembre 2020

Hello les amis randonneurs !!!!
Début de notre saison aujourd'hui... Et oui on reprend les mêmes pour l'instant, dans l'attente des nouveau adhérents très bientôt...
Une vingtaine de super randonneurs se sont élancés sur le sentier du littoral de Sainte Luce tôt ce matin mais avec déjà un soleil au plus haut niveau.
Grosse chaleur, mais nos supers randonneurs ont bouclé cette ballade d'une dizaine de kilomètres en deux heures environ. Belle performance pour une reprise !!!! N'est-ce pas ?
La mer d'un vert anis a permis à tout un chacun de se rafraîchir et de régénérer ses muscles après ce gros effort ...
Le déjeuner s'annonçait très bien à l'Anse Mabouya. Mais quelle ne fut la surprise de nos randonneurs lorsque un petit groupe de tortues a décidé de voir le jour à leurs pieds à l'heure du déjeuner sur cette plage, en plein jour et sous un soleil de plomb...
Extraordinaire et fabuleux.... Comment sortir de ce trou de naissance ???
Ces petites bêtes ont réussies en y mettant toutes leurs forces et bien sûr sans aide humaine.... Bravo !!!! Juste un petit coup de main pour les diriger vers la mer... Et hop les voilà parties vers d'autres cieux et pleins de découvertes.... Souhaitons leurs plein de bonnes choses dans cet univers marin pour l'instant inconnu. Souhaitons leurs surtout une belle et longue vie...
Vers 16 heures, nos supers randonneurs ont plié bagage avec la tête pleine de belles images de vie et dans l'attente de la prochaine aventure.....

ELISABETH ALIAS MISS CRAMPE
 
Le 30 Aout 2020

Il peut, il peut, bergère...

Eh oui, le RCVD a pu boucler son Tour contre vents et marées en décidant d'innover pour conclure avec la 25ème étape !
Et si on commandait un peu de pluie - quasiment absente sur toutes les étapes précédentes - à la météo pour changer et surtout étrenner les K-Way pour certains ?
Pas de problème, la Martinique a donc été placée en vigilance jaune pour fortes pluies et orages dès la veille de la rando.
Dimanche matin, "bon dlo té ka tonbé" ce qui nous a incité à ne rien annuler : on attendrait la première accalmie pour partir, d'autant plus que l'itinéraire ne présentait aucun danger entre La Meynard (Fort-de-France) et Belle Etoile (Saint-Joseph). Pour mettre un terme à cette saison, 7 petits kilomètres à avaler avec entrain. Avec toutefois une cerise sur le gâteau - au chocolat ? - : la montée de Fond Cacao sur 400m avec un dénivelé positif de 60m. A la veille de la rentrée scolaire, je vous laisse le soin de calculer le pourcentage de la pente...N'hésitez pas à demander un peu d'aide à vos petits-enfants qui, n'en doutons pas, seront ravis de soigner vos calculs !
Nous n'étions que 15 partants, copieusement arrosés à leur arrivée dans le bourg de Saint-Joseph, sans doute pour nous laver de tout soupçon de fatigue...
Une matinée qui s'est achevée dans la joie d'une célébration d'anniversaire de mariage de Flavie et Louis qui, avec toute cette pluie, nagent dans le bonheur.
Le mariage ressemble finalement à une longue randonnée avec ses obstacles, ses découvertes, ses joies et ses peines et tout cela sans prendre de licence !
A bientôt et merci à tous ceux et celles qui ont permis la réalisation du projet marquant notre 10ème saison, projet fortement compromis avec l'intrusion du Covid-19 !

Grifantè
 
Le 24 Aout 2020

Il est fort, Saint-Louis !

Pour ceux et celles qui ont repris la randonnée depuis la levée du confinement, pas de mystère dans le titre : quand j'évoque le fort Saint-Louis, il s'agit bien entendu de René Frédéric - un monument historique du RCVD - qui n'a pas manqué une étape depuis la reprise ! Le second régional de l'étape 24, Fond Lahaye / Fort Saint-Louis, toujours au plus près du littoral, soit une petite balade de 10km quand même...
Etape à laquelle a pris part un groupe de 13 fans - pas de repas tiré du sac ce dimanche pour éviter d'être 13 à table -, parti donc du petit port de pêche de Fond Lahaye avec une petite incursion sur la plage de l'anse Collat, puis l'anse Madame avec le tour de la place des Arawaks et sa magnifique sculpture signée Henri Guédon, l'esplanade du 22 mai - emplacement de l'ancienne caserne de gendarmerie et la batterie Sainte-Catherine en contrebas (photo incontournable d'un endroit canon !)...
Quittant Schoelcher - ou Case Navire pour faire plaisir à certains -, nous arrivons à l'anse Gouraud, puis Fond Batelière que nous traversons en suivant de petites ruelles étroites séparant des maisons en bordure de falaise. Dernier tronçon des pointes des Nègres, de la Vierge et Simon en traversant le fameux quartier Texaco, puis l'arrivée à destination en suivant le Bord de Mer - ou Malecon, là encore pour faire plaisir à tout le monde.
Un iguane peu craintif nous attendait sur le tronc d'un arbre au pied du Fort Saint-Louis et nous accueillit avec un : "A présan, zot ka rivé ! Eti kolasion an ? ".
Obéissants, nous sortimes la glacière pour nous rafraichir...la mémoire !
A dimanche prochain

Grifantè
 
Le 10 Aout 2020

La Portion Congrue en vadrouille...
Sept valeureux randonneurs (3) et valeureuses randonneuses (4) ont effectué cette 23ème étape entre Le Carbet et Bellefontaine !
L'effectif fond "kon sinobol anba soley cho-a", mais ne disparait pas...Espérons que pour l'ultime étape, je ne me retrouve pas à ouvrir la marche tandis que Félo, imperturbable, continuera d'assurer son rôle de serre-file, alors que nous ne serons plus que nous 2 !
Ceci dit, ce fut une belle rando.
Une déception : ne pas avoir pu descendre jusqu'à l'anse Marigot en contrebas du belvédère de Morne aux Boeufs, en raison de la période de nidification des "phaétons à bec jaune" (mars à août).
Une satisfaction : avoir pu traverser la savane qui permet de rejoindre Fond Capot sans rencontrer les herbes piquantes collées sur les jambes de pantalon, ce qui nous avait valu une certaine dose de patience pour les retirer une à une lors de notre dernier passage...
Un petit coup d'oeil sur les vestiges de la pointe de la Batterie et nous voilà en route vers le bourg par la plage et le quartier l'Autre Bord. En traversant la rivière Capot, presque à pied sec, on quitte le territoire du Carbet pour entrer sur celui de Bellefontaine.
Agréable visite du bourg et surtout de sa face cachée (l'église et son architecture originale, les bords de la ravine Le Marigot en suivant la rue Lyn Mauvois, puis cette fameuse remontée - mécanique ? - en direction du célèbre Torgileo et enfin (!) la redescente sur la Cour Tamarins...
Heureusement, le soleil avait décidé - port du masque obligatoire ? - de se voiler la face.
Petite pause au boulodrome avant d'entamer le dernier tronçon jusqu'à la centrale EDF de Fond Laillet, toujours en longeant la ligne bleue, non pas des Vosges, mais de la Mer des Caraïbes, caressant les rochers.
Ce n'était pourtant pas la fin du parcours puisque le groupe s'est ensuite dirigé vers le bourg de Case-Pilote - en voiture heureusement - pour une visite du bord de mer depuis la place de la mairie en passant près du mémorial rappelant l'histoire du périple et de l'arrivée des Indiens aux Antilles en 1853, puis par le quartier L'Autre Bord" en bas du quartier "La Batterie" (décidément on se croirait revenu.e.s sur nos pas).
Dernier transport qui nous mènera sur la plage de Fond Bourlet, dont le nom reste attaché à la découverte du corps ligoté et noyé d'André Aliker en janvier 1934.
Le temps d'un bain de mer bien mérité, d'une collation et d'un pique-nique tout aussi mérités - connaissez-vous le "riz au lait" de l'ami Félix ? - et vers 13h nous décidions de lever le camp.
Pas déçu.e.s de cette demi-journée en tout cas !

Grifantè
 
Le 5 Aout 2020

Cependant, en dépit du passage par la rue "monte au ciel", nous n'avons pas atteint les cieux (sic). Seuls nos mollets ont été mis à contribution.....
Et bien sûr, la majestueuse Montagne Pelée s'était découverte de tous ses nuages pour nous accueillir et nous permettre d'apprécier ses jolis flancs.
Ce fût une belle ballade riche de l'histoire d'un pan de la vie de notre territoire d'il y a quelques années et qui mériterait d'être mis en valeur et transmis.
Il nous appartient à tout un chacun de le faire....

ELISABETH ALIAS CHOSET ENTE OU MISS CRAMPE
 
Le 3 Aout 2020

"Le régional de l'étape..."
Peu nombreux et nombreuses ce dimanche 2 août à Saint-Pierre pour la 22ème étape de notre tour !
Peu importe la quantité dès lors que la qualité était présente : en parlant de qualité, je pense au "régional de l'étape" qui a repris du service après la longue absence due au Covid.
"Régional de l'étape" car natif de Saint-Pierre, l'homme à la tablette bleue - vous l'aurez sans doute reconnu -, notre ami Benjamin nous a conduit sur les traces de son enfance après que le petit groupe ait arpenté le quartier du Fort, en long, en large et en travers. La visite des ruines de la Maison de Santé a constitué un temps fort - comme le quartier du même nom - de la matinée.
Ancien hôpital psychiatrique, cet établissement colonial a été précurseur du traitement des malades par l'hydrothérapie, l'eau descendant généreusement des flancs de la Pelée. Tout ceci ayant connu la fin tragique que l'on sait le 8 mai 1902. Le groupe - en prenant bien soin de ne laisser personne sur place - s'est ensuite dirigé vers le boulevard (sic) Laigret en contrebas du Morne Abel. Vue magnifique sur la rade de Saint-Pierre et la ville en contrebas.
En longeant le cimetière - où là encore nous n'avons laissé personne -, nous sommes arrivés par la rue Clavius Marius qui n'est pas un sénateur de la Rhum Antique, fief des premiers émois de Benjamin, sur la place Bertin pour une petite pose ou pause, à chacun de voir.
Il était temps de reprendre la route, enfin la plage pour gagner le quartier Le Coin au Carbet, proche environ de 5km. Pratiquement 3km de plage, les pieds dans l'eau pour l'un d'entre nous, par un temps ensoleillé.
L'étape prenait fin au Coin - comme disait le maitre d'école ! - et le petit groupe s'est retrouvé sur la "Place dite du débarquement de Christophe Colomb", absent ce jour, pour le repas tiré du sac après un bain de mer bien mérité.
A noter en ces temps troublés, que cette place accueille un panneau reprenant 100 noms d'anciens esclaves que les officiers d'état civil leur ont attribué après l'abolition de l'esclavage.
Les "Sans Noms" se sont retrouvés ainsi étiquetés en faisant l'impasse sur leur véritable identité jetée aux oubliettes à la suite de la traite négrière...
On y retrouve donc un grand nombre de patronymes de familles connues dont certaines résident toujours au Carbet.
On ne peut que saluer cette initiative qui permet à notre jeunesse de connaitre les deux faces de la médaille historique !
A dimanche prochain !

Grifantè
 
Le 27 Juillet 2020

Chosèt antè m'a devancé et c'est très bien ainsi...Merci donc à Elisabeth, prochaine Miss Crampe ! J'allais dire : Elisabeth, cramponne-toi ! mais je conçois que ça risque de prêter à confusion...
Donc la chronique de nos pérégrinations hebdomadaires en sera de ce fait allégée.
Je me contenterai de m'arrêter sur le profil de ces 19 volontaires qui ne se laissent pas abattre par les kilomètres à pied, qui comme on le sait "ça use, ça use".
Si l'on fait abstraction des 7 personnes invitées - qui nous ont trempés dans un sacré bain de jouvence pourtant -, l'âge moyen des 12 licencié.e.s RCVD présent.e.s ce dimanche 26 juillet s'établit à ...65 ans (3 d'entre eux affichant plus de 70 ans). Pas de miracle pourtant, seul l'entrainement physique ajouté au plaisir de se retrouver ensemble peut expliquer cela.
Preuve s'il en était besoin, que cette randonnée, redoutée par sa longueur mais tant appréciée par cette immersion dans un site exceptionnel (classé "zone d'intérêt écologique, floristique et faunistique" depuis 1996) reste incontournable. Pour s'en convaincre, je citerai la chargée de mission "Protection des sites et Paysages" de la Direction Régionale de l'Environnement de l'époque : "Du fait de son isolement, le site offre au promeneur (sic) le spectacle unique d'une forêt tropicale encore sauvage et bordée par un littoral d'une exceptionnelle beauté. Les paysages tirent leur grande valeur esthétique de la puissante forêt primitive qui les compose(...)".
Des décennies après, le site n'a rien perdu de cette description et il nous appartient à nous, randonneurs et randonneuses, de le préserver !

Grifantè
 
Le 27 Juillet 2020

Coucou les amis...
Hier journée palpitante sur la randonnée "Grand Rivière/Prëcheur".
Après une belle balade en yoles pour rallier Prêcheur à Grand Rivière, 19 courageux randonneurs se sont lancés sur le circuit.
Après 1 heure et demi, nous rencontrons la première difficulté... Un gros arbre s'est brisé et le tronc s'est installé au beau mileu du sentier... C'était sans compter sur nos intrépides randonneurs.... David, un de nos invités s'est mis à l'ouvrage avec coutelas et courage en compagnie de Romain, Henry....
Ouf !!! le sentier est déblayé après une bonne demi heure... Passage délicat mais le petit groupe peut reprendre son périple destination Prêcheur.....
Oups !!!! Deuxième difficulté encore un tronc d'arbre sur le sentier... Mais là pas besoin de coutelas.... Juste un passage délicat.... Et le petit groupe continue son périple destination Prêcheur...
Enfin la rivière trois bras, bain de jouvence dans une eau claire et tempérée. Belle halte pour le repas et un peu de repos avant d'entamer la deuxiéme partie de notre périple.
Un heure après, le petit groupe bien requinqué repart destination Prêcheur....
Notre amie "fatigue" commence à faire son apparition et ses sans compter sur son "entêtement" à vouloir nous pourrir la vie aujourd'hui.....
Louis ouvre le "bal" de la souffrance.... Les autres avancent avec la hâte de terminer....
S'ensuit Elisabeth qui est invitée au "bal" et qui danse le "zouk"de de la souffrance à 3 kilomètres de l'arrivée... En proie à d'intenses et douloureuses crampes aux deux jambes.... Servaise commence à l'aider apeurée et triste devant mes cris de douleur.... Deux sportifs de passage prennent le relais de Servaise... Merci à eux. Enfin, Gérard, Romain et Louis arrivent. Louis va beaucoup mieux et peut continuer.... Je me tords de douleur...
Ouf !!! Le "zouk" se termine enfin.... Je peux repartir avec le soutien de Gérard sur 200 mètres sur les chaussettes. Romain porte les chaussures et reste attentif. Servaise porte le sac... Je continue seule sans soutien doucement et tranquillement et nous arrivons enfin... Pas trop fatiguée mais les jambes en vrac stigmates de cette douloureuse épreuve....
Petite frayeur à l'arrivée quand Servaise n'est pas là.... En fait elle est descendue vers la plage et à longer la plage en laissant le sentier suite à une mauvaise indication "direction parking".
Pas de problème, elle est là.
Quel épopée ce dimanche !!!!!
Et nous avons tous rallier Grand Rivière au Prêcheur ; et terminer notre périple "destination Anse Couleuvre - Prêcheur....
Mais journée fantastique tout de même....

Gros merci à Gérard et Romain et surtout à Servaise...
A bientôt
Elisabeth alias "chaussettes entè"

ELISABETH ALIAS CHAUSSETTES EN T
 
Le 26 Juillet 2020

Le gang de Potiche en action...

On connait bien les deux ponts métalliques surplombant la Rivière Potiche permettant ainsi de rejoindre Grand-Rivière sans se mouiller les pneus.
Ce que l’on sait moins, c’est la date de mise en service de ces ouvrages, rompant ainsi l’enclavement de cette commune de l’extrême nord de la Martinique.
Et pourtant, avant l’existence de ces structures, une route reliait Grand-Rivière à Basse Pointe en passant par Le Macouba. Cette route qui descendait en serpentant jusqu’à l’embouchure de la rivière où subsistent les ruines de l’habitation qui garde son mystère, était empruntée par les camions et autres taxis-pays, permettant ainsi les échanges par voie terrestre. Aujourd’hui envahie par la végétation dans sa partie sud, elle révèle un témoignage patrimonial essentiel à qui veut comprendre la difficulté de se déplacer à la Martinique dans la première moitié du siècle passé. On comprend ainsi mieux pourquoi les Anciens ne rechignent pas devant les kilomètres à pied...
Le dimanche 19 juillet, ils n’étaient que 12 du RCVD à tenter «l’aventure» - l’équipe de reconnaissance avait nettoyé l’accès de cette route pavée quelques jours auparavant -, aventure partant du quartier Potiche pour traverser la rivière sur le pont de pierres puis remonter sur la départementale D10 - belle montée ! - et rejoindre le point de départ en empruntant les fameux ponts du haut desquels on aperçoit la rivière discrète qui s’étire quelques dizaines de mètres plus bas.
La seconde partie du trajet nous a conduit du site des éoliennes de Beauséjour en passant par la rue Sous Bois pour arriver au port de pêche en longeant la côte. Il ne nous restait plus qu’à regagner le stade et la rivière que nous avons remontée pour...Mais vous savez déjà !

Grifantè
 







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